Ténor
D’origine lyonnaise, Julien Henric étudie le théâtre et le chant lyrique dans sa ville natale. En 2018, il est nommé révélation lyrique de l’ADAMI et remporte trois prix au Concours Jeunes Espoirs Raymond Duffaut. Continuant sur cette lancée, il remporte le 2ème prix et le prix de la mélodie au Concours International des Symphonies d’Automne de Mâcon l’année suivante. Il est diplômé du CNSMDL en 2020 et intègre aussitôt le Jeune Ensemble du Grand Théâtre de Genève pour les saisons 20-21 et 21-22, deux premières saisons marquées par de grandes rencontres artistiques. Enfin, il est également lauréat du 1er Prix Mélodie française et du 3ème Prix Opéra du Concours International de Marmande en 2022.
Julien Henric s’est notamment produit au Festival International d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence ainsi qu’aux philharmonies de Cologne et d’Hambourg; à l’Opéra National de Paris; au festival Donizetti de Bergame ; à l’Opéra Grand Avignon, à l’Opéra National du Rhin ; au Théâtre Olympia d’Athènes ; à l’Opéra de Saint-Etienne ; à l’Auditorium National de Musique de Madrid; au Théâtre des Champs-Élysées ; à l’Opéra de Rouen; au Festival d’Été des Nuits Lyriques de Marmande; ou encore au Gran Teatre del Liceu de Barcelone, à l’Opéra National de Bordeaux, à l’Opéra Royal de Versailles et au Festival de Ravenne.
Au fil des années, il a l’opportunité de travailler avec des metteurs et metteuses en scène tels que Calixto Bieito, Jacopo Spirei, Mariame Clément, Ulrich Rasche, Daniel Kramer ou encore Krzysztof Warlikowski. Il croise également la route de grands chefs comme John Nelson, Marc Minkowski, Stefano Montanari, Thomas Adès, Raphaël Pichon ou encore Pierre Dumoussaud.
Parmi ses rôles récents, Laërte dans Hamlet (Thomas) au Festival de Salzbourg et au Teatro Regio Torino, Tébaldo dans l’Ancêtre (Saint-Saëns) à l’Auditorium Rainier III avec le Palazzetto Bru Zane, Don José dans Carmen (Bizet) à l’Opéra de Shanghaï, Le chevalier de la force dans Les dialogues des Carmélites (Poulenc) l’Opéra de Rouen Normandie.
En 2025/2026, on retrouve Julien Henric sur scène au Grand Théâtre de Genève pour Walter dans Tannhäuser (Wagner), à l’Opéra national de Bordeaux pour le Comte de Vaudémont dans Iolanta (Tchaïkovsky) et Mirko in La Montagne Noire de Augusta Holmès avec le Palazzetto Bru Zane, à l’Opéra du Rhin pour Mylio dans Le Roi d’Ys (Lalo), et en concert pour le Requiem de Mozart à Salzbourg sous la direction de Roberto González-Monjas ou à Édimbourg avec le Scottish Chamber Orchestra sous la direction de Riccardo Minasi. On le retrouvera aussi à l’Auditorium de la Maison de la Radio à Paris pour le Stabat Mater de Clémence de Grandval et la Messe Solennelle d’Hector Berlioz avec l’Orchestre national de France.
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Crédit photo : Nicolas Costy
